Je ne veux pas qu’on me laisse ma place. Je veux qu’on comprenne que je n’ai pas besoin de chaise pour exister.
— Mila Clapelin
Le choix de tout choisir
Être maman, être entrepreneure, être célibataire assumée, sans propriétaire (au sens immobilier comme affectif) : c’est possible. Mieux encore, c’est une trajectoire souvent choisie.
Certaines femmes ne veulent plus cocher les cases, ni pour plaire, ni pour rassurer. Elles veulent une vie construite à 100 % sur mesure, en dehors des schémas dominants.
Elles veulent vivre, créer, aimer, travailler sans se conformer.
Et si, en 2025, la vraie réussite, c’était ça : ne pas appartenir ?
Ni à un homme. Ni à un boss. Ni à un prêt immobilier sur 25 ans. Juste à soi-même.
Bienvenue dans l’univers des FSP qui entreprennent. Et qui n’ont plus peur de se choisir.
Découvre l’article [Célibataire à 35 ans : je suis une FSP, une Femme Sans Propriétaire]
FSP, ou l’art de vivre sans case “conjoint”
Être FSP, c’est refuser qu’un statut amoureux vienne définir ton identité.
C’est cocher la case « non applicable » quand on te demande si tu vis en couple. C’est choisir où tu es, avec qui tu es, et jusqu’à quand.
C’est une posture parfois jugée provocante. Mais en réalité, c’est surtout une façon d’être libre. Libre de ne pas dépendre. Libre d’aimer, de s’attacher, de partir, de revenir. Libre de ne pas faire entrer un homme dans l’équation si tu n’en as pas envie.
Cette posture dérange. Car une femme seule et heureuse, qui ne cherche ni bague ni crédit immobilier commun, ça casse les codes.
Et pourtant… cette femme existe. Elle avance sans validation extérieure. Et elle ne s’excuse plus.
Maman entrepreneure, ou comment s’imposer dans sa vie pro
Créer son activité, lancer un projet, être à son compte… c’est refuser l’idée qu’on doive « faire avec » ce que le monde du travail veut bien t’offrir.
C’est prendre la parole. Prendre sa place. Et souvent, prendre des risques.
Quand une femme devient maman entrepreneure, elle ne choisit pas la facilité. Elle choisit de ne pas renoncer.
Elle veut vivre son rôle de mère sans abandonner sa créativité, sa liberté, son ambition.
Elle veut gagner sa vie sans sacrifier sa maternité. Elle veut du sens. De l’impact. Du temps choisi.
Ce n’est pas parfait. Mais c’est à son image.
Elle n’attend plus qu’on lui donne l’autorisation : elle s’autorise elle-même.
FSP & entrepreneure : le combo qui bouscule
Tu veux savoir ce que ça fait d’être FSP ET maman entrepreneure ?
C’est ne pas cocher de case, mais construire sa propre structure.
C’est refuser d’appartenir, pour mieux appartenir à soi-même.
Tu vis sans filet, mais aussi sans laisse.
Tu construis ton quotidien à ton rythme. Tu fais tes choix seule. Tu assumes, tu ajustes, tu recommences.
Et parfois, tu inspires sans même t’en rendre compte.
Pas de prince charmant ? Pas de souci.
Pas de CDI ? Pas de drame.
Pas de prêt en commun ? Pas d’attache.
Tu es maman ET boss, femme ET libre, vulnérable ET puissante.
Tu n’es pas entre deux rôles. Tu es toute entière dans les deux.
Ce que tu gagnes ? L’intensité. L’alignement. La fierté de n’avoir rien volé à personne, mais d’avoir tout construit.
Découvre l’article [Ma vie de maman blogueuse : équilibre, écriture et respiration mentale]
Et si c’était ça, la nouvelle réussite ?
Pas celle des vitrines LinkedIn.
Pas celle des repas de famille où on attend que tu “te poses”.
Mais celle que tu ressens quand tu te regardes en face et que tu te dis :
“C’est moi qui ai décidé.”
FSP, maman, entrepreneure : ce sont trois dimensions, mais une seule femme.
Et cette femme, elle mérite d’être entendue, valorisée, et surtout… libre d’exister sans se justifier.
Et toi, tu te reconnais dans ce profil de FSP, de maman entrepreneure, ou peut-être les deux ?
Tu construis ta vie à ta façon, sans attendre qu’on te donne le mode d’emploi ?
Raconte-moi ton parcours, tes choix, tes doutes, tes fiertés.
Ici, on est entre femmes hybrides, et chaque voix compte !
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