3 petites choses qui m’apaisent quand je m’éparpille

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Il y a des moments où il faut savoir décrocher.

Il t’arrive de t’éparpiller, toi aussi ?
D’avoir l’impression que tout s’accélère, que ta tête déborde, et que tu n’arrives plus à faire pause ?
Moi oui. Souvent.
Et dans ces moments-là, je sais qu’il ne sert à rien d’en faire plus. Ce dont j’ai besoin, c’est de ralentir, de me reconnecter, de respirer autrement.
Alors j’ai mes trois petits gestes. Simples, accessibles, pas magiques… mais profondément efficaces.
Tu veux savoir lesquels ?


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1. Écrire – laisser parler ma petite voix intérieure

Parfois, je gribouille. Parfois, je dessine. Et souvent, j’écris ce que je n’ai pas envie – ou pas la force – de dire à voix haute.
Comme si ce n’était pas tout à fait moi qui parlais, mais cette petite voix intérieure, celle qui sait ce que je ressens vraiment, sans filtre ni peur du regard des autres.
Écrire me permet de me recentrer, de remettre un peu d’ordre dans le brouhaha. Ça peut être trois mots, une pensée posée sur le coin d’un carnet, ou même un message envoyé au bon moment.
Parfois, un SMS clair et réfléchi vaut mieux qu’un discours confus et improvisé. L’écriture me permet de choisir mes mots, de poser mon émotion. Et ça m’apaise presque à chaque fois.


2. Écouter de la musique – me reconnecter à l’instant

Quand j’ai un coup de mou, quand tout s’enchaîne dans ma tête, je monte le son. Et si je suis seule… je danse.
Pas une danse chorégraphiée. Une vraie danse du cœur, du corps, de la liberté. Je me laisse porter, je m’agite, je saute, je souris.
Il y a ce moment suspendu où la musique prend toute la place dans mon esprit, et ça fait du bien.
La musique a ce don-là : elle absorbe le trop-plein, elle donne de l’énergie, elle met du mouvement là où tout stagnait. Et comme elle parle de tout — de chagrin, d’amour, de colère ou de lumière — il y a toujours un morceau qui devient le contrepoison du moment.


3. Bouger – faire circuler le souffle, libérer le mental

Quand je sens que je suis trop chargée, que je tourne en rond dans ma tête, j’ai besoin de faire circuler.
Bouger, défouler, secouer. Que ce soit sur un sac de frappe, dans une marche rapide, ou juste avec quelques squats dynamiques dans le salon, peu importe.
L’idée n’est pas de performer, mais de transpirer le trop-plein.
Et surtout : respirer.
Quand mon corps reprend sa place, que je me reconnecte à mon souffle, alors l’agitation intérieure se calme.
C’est dans le mouvement que je me décharge. Et c’est en respirant que je me recentre.


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Mon kit de secours émotionnel

Ce ne sont pas des solutions universelles.
Mais ces petits rituels-là, je les garde précieusement. Parce qu’ils m’aident à ne pas rester bloquée dans le “trop”.
Ce sont des gestes simples, à portée de main, que je peux faire à tout moment : pour sauver un repas tendu, une soirée qui déraille, ou juste anticiper une nuit trop pleine de pensées.
Le plus important, ce n’est pas ce qu’on fait. C’est de savoir qu’on a un refuge, un réflexe, une petite lumière pour se recentrer quand on sent qu’on perd pied.

Et toi, tu as tes gestes anti “je tourne en rond” ?

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