Ce que veulent les femmes (après 35 ans) : et si les hommes regardaient les bons films ?
Une femme ne veut pas choisir entre sa féminité et sa maternité. Elle veut être regardée, désirée, comprise — même en désordre, même à bout, même sans avoir à le dire.
On croit que les films érotiques sont faits pour les femmes.
Qu’ils sont là pour rêver, pour fantasmer, pour s’évader.
Mais si on se trompait ?
Et si ces films — 365 jours, 50 nuances, Sex/Life — étaient en fait des documentaires pour les hommes ?
Parce qu’à l’écran, ce n’est pas l’acte qu’on regarde, c’est l’avant, le regard, l’attention, l’énergie.
Ce que les femmes cherchent à travers ces histoires, ce n’est pas un héros,
c’est un homme. Un vrai.
Celui qui ose, qui improvise, qui voit encore la femme derrière la mère.
Passée 35 ans, on ne veut plus de grand discours.
On ne veut plus devoir se justifier d’avoir envie.
On veut un homme présent, acteur, audacieux.
Pas un figurant dans le script de notre quotidien.
Alors, ce que veulent les femmes après 35 ans ?
C’est simple.
Mais ce n’est pas évident.
À condition de bien regarder.
(Et non, pas juste le film.)
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Pourquoi les films dits « féminins » parlent en réalité aux hommes
Moqués, catalogués, réduits à des fantasmes kitsch… mais dévorés. Ces films ont une place bien plus profonde qu’on le croit.
Parce qu’ils traduisent une soif : celle d’un autre rapport au désir, à la tension, à la connexion.
Dans ces films, le héros ne demande pas. Il devine. Il observe. Il agit avec audace et attention.
Ce ne sont pas les scènes explicites qui nous marquent. C’est ce qu’il y a autour :
– Un regard qui brûle,
– Un homme qui pose son téléphone quand elle entre dans la pièce,
– Une tension qui monte sans jamais tomber dans la facilité.
Pour les femmes, c’est une échappatoire.
Pour les hommes, un manuel dissimulé. Encore faut-il vouloir le lire.
Le néo-romantisme, ou l’art de proposer sans demander
Le romantisme d’hier, c’était un poème, un dîner, un bouquet.
Le néo-romantisme d’aujourd’hui ? C’est de savoir provoquer le frisson à 15h un mardi, sans occasion, sans plan.
Les préliminaires ne commencent pas à la première caresse.
Ils commencent quand il annule une réunion pour la regarder cuisiner.
Quand il la frôle sans faire exprès. Quand il l’invite dans une scène, pas dans un moment figé.
Les femmes aiment les contextes, les scénarios, les dérapages doux.
Elles veulent un homme qui improvise, qui sent l’instant, qui change le programme.
Le néo-romantique ne pose pas la question : “Tu veux qu’on fasse quoi ce week-end ?”
Il dit : “Prépare-toi, je t’emmène.”
C’est pour vivre à travers elle. L’héroïne. Celle qu’on regarde, qu’on désire, qu’on surprend.
Parce qu’un bon film néo-romantique, c’est pas du cinéma.
C’est un rappel : “Et moi, si on me regardait comme ça ?”
Une femme n’est pas qu’une maman (et vice versa)
On l’oublie trop souvent : la maternité n’annule pas la féminité.
Mais dans beaucoup de couples, c’est exactement ce qui se passe.
Elle devient la maman. L’organisatrice. La prévoyante.
Et lui ? Il s’efface. Ou il attend.
Et le désir meurt là.
Ce que veulent les femmes ?
– Ne pas avoir à choisir entre être fatale ou maternelle.
– Être les deux. Entièrement.
– Et que leur homme le voie. Mieux : qu’il l’exprime.
Un homme amoureux, ce n’est pas celui qui gère la logistique.
C’est celui qui continue à jouer, à séduire, à proposer.
Parce qu’il sait que son regard peut encore raviver la flamme.
Ce que veulent les femmes, vraiment
– Être regardées comme au premier jour (surtout quand elles ne l’ont pas demandé).
– Être comprises sans devoir tout expliquer.
– Être surprises. Séduites. Inspirées.
– Avoir le droit de se sentir femme sans mode d’emploi ni checklist à cocher.
Une journée sans être regardée n’est pas une bonne journée.
Parfois, on change de tenue juste parce que personne n’a levé les yeux.
C’est pas de la coquetterie. C’est de la vie.
Messieurs, soyez des acteurs… pas des figurants
Ce que beaucoup d’hommes n’ont pas encore compris, c’est que le désir n’est pas acquis.
Il se travaille. Il se réinvente. Il se propose.
Arrêtez de dire : “Elle n’a jamais envie.”
Demandez-vous : Qu’est-ce que je propose vraiment ?
Un plat réchauffé tous les soirs ? Ou un nouveau menu, un vrai ?
Le romantique moderne n’est pas un gentil garçon.
C’est un lover intelligent, instinctif, joueur, limite animal.
Il n’attend pas que la magie revienne : il l’allume.
Et surtout, il sait que la femme en face de lui n’est pas une fonction. C’est un feu à rallumer.
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Finalement, comprendre une femme ce n’est pas si compliqué
Elle n’attend pas un héros.
Elle veut un homme qui la fait vibrer même avec un vieux chignon et des cernes.
Les fleurs, c’est sympa. Mais un regard qui la fout à l’envers ?
Ça, c’est du romantisme.
Pas besoin d’un guide de 300 pages. Pas besoin de poser mille questions. Parfois, il suffit juste de regarder ce qu’elle regarde.
Les films qu’elle aime. Les livres qu’elle relit. Les chansons qu’elle met en boucle. Ses inspirations disent tout : elle veut du désir, de l’audace, du jeu.
Pas des procédures, des routines, des “tu veux qu’on fasse quoi ?”.
Comprendre une femme, ce n’est pas deviner ce qu’elle pense.
C’est capter ce qui la touche. Ce qui l’inspire. Ce qui la fait frissonner.
Et surtout : c’est arrêter de lui demander quoi faire… et commencer à le faire.
À vous de jouer 😉
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