Ma fille a 10 ans. Elle est fan de K-pop. Non, pas juste fan : possédée. Elle chante, elle danse, elle respire Blackpink. Sa chambre est un clip à elle toute seule. « Blackpink in your area » ? J’ai envie de dire : dans toute la maison, dans ma tête, dans nos vies.
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Blackpink dans sa chambre, Blackpink dans ma tête
Elle connaît leurs prénoms, leurs âges, leurs plats préférés. Elle imite leurs chorégraphies entre deux cuillères de compote. Elle me parle de Jennie et Lisa comme si c’était ses cousines. Et bien sûr, elle rêve de devenir comme elles. Enfin… un mix entre elles et une chanteuse Disney, version coréenne.
K-pop : l’icône des nouvelles générations
À cet âge, on a besoin de s’inventer. De vibrer. D’avoir des modèles qui nous émerveillent. Moi aussi j’ai eu mes phases. World Apart, Backstreet Boys, et même les Poetic Lovers. (Oui. J’assume. À moitié.)
Alors je regarde ma fille et je me dis que cette obsession passera sûrement. Mais en attendant, elle vit sa passion à fond, avec des étoiles dans les yeux. Et ça, c’est beau à voir.
Ce que je trouve plutôt cool (et que je n’avais pas à 10 ans)
- Elle ne se maquille pas : elle fait des soins du visage. Des masques, des patchs, des lotions. Yuka est devenu son coach beauté.
- Elle écoute de la musique qui se danse, qui pulse, qui fait bouger.
- Elle découvre la culture coréenne : la langue, la nourriture, les coutumes. Elle m’a même demandé si on pouvait manger du kimchi un soir.
- Elle parle avec passion, elle s’exprime, elle crée. Elle s’inspire.
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Là où je garde un œil (de maman, et aussi de femme)
Soyons honnêtes : les K-idols sont magnifiques. Trop magnifiques. Stylées, parfaites, toujours au top. Et derrière, il y a une industrie énorme, parfois cruelle. À dix ans, on n’a pas encore le recul pour distinguer l’admiration de l’idéalisation.
Et puis il y a les tenues. Un peu trop courtes. Un peu trop sexy. Un peu trop… adultes. Ma fille reste une enfant. Et je veux qu’elle le reste encore un peu.
Alors, faut-il s’inquiéter ?
Pas vraiment. Mais rester présente, oui. Je crois qu’il faut accompagner, observer, et surtout parler. Ce sont des moments parfaits pour discuter de ce qu’on aime, de ce qu’on ressent, de ce qu’on croit.
Elle peut adorer Blackpink sans vouloir être une copie conforme. Elle peut danser comme elles, mais grandir à son rythme. Et elle peut rêver d’être une star, tout en gardant les pieds dans ses baskets taille 34.
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Une tendance entre adoration et éducation
Être fan, c’est une étape. Un passage presque obligé. Et c’est aussi une opportunité. Pour elle de se découvrir. Et pour moi de mieux la comprendre. Alors non, je n’ai pas peur des K-idols. Mais je les regarde du coin de l’œil, en bonne maman hybride que je suis.
Et entre Lisa et les Poetic Lovers, après tout… il n’y a qu’un poster de différence.
Et toi, tu vis la vague K-pop à la maison ?
Ta fille est-elle fan de K-idols ? Comment tu vis cette passion chez elle ? Raconte-moi tout en commentaire ! Je suis curieuse de savoir si d’autres mamans hybrides nagent aussi dans cette ambiance rose bonbon 2.0
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