Maman & renouveau : 5 bonnes résolutions pour janvier 2026

Maison miniature en hiver avec bonnet tricoté orange, symbole de slow home et de cocooning familial.

Chaque nouvelle année me regarde comme si elle me demandait gentiment de ralentir deux minutes et de réfléchir à ce que je veux vraiment.
Pas ce que je dois faire.
Ce que je veux construire, vivre, ressentir.

2026 arrive avec un goût différent.
J’ai envie d’un quotidien plus aligné, plus simple, plus vrai.
Pas une vie parfaite, juste une vie qui respire, où je ne cours pas après moi-même toutes les deux heures.
Un mélange d’ambition, de slow life et de décisions qui transforment doucement, mais sûrement, la manière dont je vis ma maison, mon travail et ma famille.

Alors j’ai posé 5 résolutions.
Des vraies.
Celles qui changent les trajectoires, même quand on avance lentement.

Pourquoi se fixer des bonnes résolutions en janvier ?
En vrai, personne n’a besoin d’un mois précis pour changer sa vie. Les psys, les coachs, les neuroscientifiques, tout le monde s’accorde plus ou moins là-dessus.
Mais janvier, c’est autre chose.
C’est un reset symbolique, un bouton “Recommencer” que l’année nous offre sur un plateau.

Ce n’est pas magique, c’est mental.
Et notre cerveau adore ça.

Janvier donne l’illusion d’un nouveau départ.
Et parfois, cette illusion suffit à lancer une dynamique bien réelle: on trie, on projette, on répare, on ose.
Quand l’année commence, on a un petit élan de courage en stock, comme un bonus gratuit. Et même si on sait qu’il va s’évaporer fin février, ce n’est pas grave.
Les vrais changements commencent souvent par des élans minuscules.

Se fixer des résolutions en janvier, ce n’est pas se mettre la pression.
C’est ouvrir une fenêtre et laisser entrer de l’air neuf.
C’est se demander: “Qu’est-ce que je veux vraiment construire cette année ?”
Et avoir le cran de répondre honnêtement.

1. Transformer mon projet pro en side hustle… et l’assumer vraiment

Maman en télétravail à la maison avec son bébé pendant l’hiver
Trouver sa voie sans attendre “le bon moment”. Travailler sur ses projets en plein cœur de la vraie vie, entre un café tiède et un bébé qui babille, parce que c’est souvent là que naissent les ambitions les plus solides.

Le courage de miser sur soi

Rêver, c’est mignon. Construire, c’est autre chose.
Cette année, j’arrête de voir mon projet comme “un petit truc sur le côté” et je le traite comme ce qu’il peut devenir: un vrai pilier de ma vie pro.
Je veux créer, grandir, me challenger. Et surtout arrêter de m’excuser d’avoir de l’ambition.
2026 sera l’année où je mise sur moi, même quand ça secoue.

2. Déménager pour redevenir citadine et changer de vie

vaisselier decoration maison vaisselle cuisine art de la table maison bebymaman
Revenir à l’essentiel, c’est souvent revenir à soi. Quitter la banlieue pour retrouver le bruit des pas dans la rue, la lumière d’un matin en ville, la simplicité des gestes du quotidien. Une nouvelle vie qui se reconstruit autour de petits rituels, plus proches, plus humains, plus vivants.

Le choix d’une vie qui respire mieux

On quitte la banlieue pour revenir là où je me sens vivante: en ville.
Marcher plus, dépendre moins de la voiture, respirer autre chose que des ronds-points, croiser des gens, sentir le mouvement.
Changer de quotidien pour se réaligner, c’est un vrai luxe.
Et 2026… sera la bascule.

3. Me mettre au sport (oui, encore)

Maman et fille faisant du sport ensemble à la maison, illustrant la complicité, l’éducation alternative et le bien-être familial.
Bouger pour soi, pas pour cocher une case. Reprendre son corps en main comme on reprend sa vie: doucement, mais avec constance. Et parfois, ça commence là, dans un salon un peu encombré, à suivre les mouvements d’une petite coach qui y croit déjà plus que nous.

Le corps qu’on mérite, pas celui qu’on subit

Chaque année, cette résolution revient, telle la mauvaise conscience en legging.
Je ne sais pas si j’y arriverai, mais je sais que je veux me sentir forte, en forme, oxygénée.
Pas pour plaire, pas pour cocher une case: juste pour tenir dans la durée.
Un jour, je serai une meuf qui finit ses phrases sans être essoufflée.
Peut-être même cette année.

4. Rénover une maison centenaire pleine d’histoires

plantes d’intérieur pour végétaliser une maison slow home
Créer un slow home, c’est laisser entrer la nature, la lumière et les matières vivantes. C’est imaginer une maison qui apaise, qui fait ralentir, qui raconte quelque chose à chaque coin de pièce. Une rénovation qui ne vise pas la perfection, mais un lieu qui fait du bien, jour après jour.

Un slow home qui se construit pièce par pièce

On quitte le neuf, ses murs lisses et son absence totale de personnalité, pour une maison centenaire qui murmure tout le temps.
Elle a vécu, elle a vu passer des gens, des familles, des époques, et elle nous accueille pour écrire la suite.
Et puisqu’on va tout refaire, autant la façonner à notre image: un rythme plus doux, des espaces pensés pour respirer, des matières qui apaisent, des pièces qui invitent à ralentir.
Un vrai slow home, pas un décor Pinterest.
Un lieu qui grandit avec nous, qui absorbe nos saisons de vie, qui nous ramène à l’essentiel: vivre ensemble, mais vivre mieux.

5. Vivre dans une maison intergénérationnelle

mamie enfant deuxieme mere maman complice famille bebymaman (1)
Vivre ensemble, c’est partager les gestes du quotidien, les petites attentions qui tissent une famille autrement. Une grand-mère qui aide, un enfant qui apprend, un foyer où chacun trouve sa place. La slow life prend tout son sens quand les générations se soutiennent au lieu de s’épuiser seules.

Une slow life qui rassemble plusieurs vies

On adore en parler… jusqu’au jour où on y est vraiment.
Vivre tous ensemble, c’est un défi, oui.
Mais c’est surtout un choix: celui de créer une maison où chacun trouve sa place, où les générations s’équilibrent au lieu de se tolérer, où les forces des uns compensent les faiblesses des autres.
C’est une slow life vivante, imparfaite, un peu bruyante parfois, mais profondément riche.
Un quotidien où on s’entraide, où on se relaie, où la charge mentale cesse enfin d’être l’affaire d’une seule personne.
Une vie plus lente, mais plus pleine.

Construire une nouvelle année avec toujours plus de sens

Je n’ai pas l’ambition d’être une version “améliorée” de moi-même en 2026.
J’ai juste envie d’être une version plus consciente, plus posée, plus alignée.
C’est ça, ma manière d’aborder la slow life: avancer sans m’essouffler, choisir sans me disperser, créer un quotidien où chaque pièce, chaque projet, chaque relation a une place qui fait sens.

Ces résolutions ne sont pas un programme strict.
Elles sont un mouvement.
Une direction douce mais ferme vers une vie qui me ressemble davantage: un projet pro qui pousse, une maison qui se transforme, un foyer qui s’agrandit, un rythme plus apaisé, une énergie mieux distribuée.

2026 ne sera peut-être pas spectaculaire.
Mais elle sera vraie.
Et ça, c’est déjà beaucoup.

Et toi, qu’est-ce que tu rêves d’alléger, de transformer ou d’inventer pour cette nouvelle année ?

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